RESTAURATION BIO POUR NOS ENFANTS, C’EST POSSIBLE


Cantine bio à l’école pour nos enfants, utopie ou réalité en devenir ? Ces deux dernières décennies, les soucis de rationalisation bien légitimes de la part des collectivités et les normes de complexité croissante en terme de sécurité alimentaire ont conduit à la généralisation des formules de restauration collective pour l’alimentation scolaire.

Aujourd’hui, dans la perspective de la traduction concrète des consensus dégagés par le Grenelle de l’environnement, un faisceau de convergences nous laisse à penser qu’autre chose est possible. Sans revenir à un « bon vieux temps » au nom d’un passéisme illusoire, il faut au contraire aller de l’avant. Progrès dans la maîtrise de la culture bio, prise de conscience croissante de producteurs amenés à des révisions de choix dictés par l’évolution inéluctable de la PAC vers une vision moins quantitative du marché, aspiration générale à une qualité alimentaire dépassant la simple notion de sécurité, tous ces facteurs incitent à une action volontariste pour engager un pari d’avenir pour nos enfants.

Dans les régions Midi-Pyrénées et Rhône-Alpes notamment, des expériences pilote couronnées de succès autorisent une extension, à terme une généralisation de la restauration bio dans les cantines scolaires.

Mais le coût, direz-vous ? En raccourcissant les circuits du producteur au consommateur par des partenariats de proximité avec les professionnels locaux, le bio en cantine n’est pas plus onéreux pour les familles que la restauration classique. Il serait dommage à bien des égards qu’un département comme le nôtre, réputé pour sa qualité de vie, reste à l’écart de ce mouvement.

En mobilisant partenaires institutionnels et parents d’élèves, en sensibilisant élus et chefs d’établissements, nous vous proposons de nous accompagner pour atteindre un objectif essentiel pour l’avenir de nos enfants.

mardi 27 octobre 2009

Le bio est l'affaire aussi des parents d'élèves

Si le développement du bio en restauration scolaire est aujourd'hui principalement le fait du cadre réglementaire, il doit pour beaucoup également au travail des élus et à la vigilance des parents d'élèves.

A Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), Vincent Poizat est très sensible à la qualité de la restauration scolaire de son fils. Membre de la commission cuisine aux cotés des représentants de Sogeres, il a fini par devenir un militant du bio.

Au point même qu'il a fondé un blog http://macantinebio.wordpress.com sur le sujet. "Cela me semble très important que les cantines se reconvertissent au bio, pour des raisons sanitaires et de santé publique, car les produits bio sont plus sains, et d'un point de vue environnemental, cela permet de faire face à l'agriculture industrielle dont les effets néfastes pour la nature sont connus depuis les années 50", explique-t-il.

Pour rédiger ses articles, il s'appuie d'une part sur des sources extérieures, des textes réglementaires, des articles en provenance de sites institutionnels ou de médias, et d'autre part, à partir d'un travail journalistique. Il s'est ainsi par exemple rendu récemment aux dernières Rencontres nationales de l'Agence Bio à Paris.

Les articles peuvent être en lien direct avec le bio en restauration scolaire, mais peuvent également traiter de sujets plus globaux comme l'agriculture, le traitement des déchets ou le développement durable.

mercredi 22 juillet 2009

Des médecins conseillent d’éviter de consommer des OGM

L'American Academy of Environmental Medicine affirme que « les aliments génétiquement modifiés n'ont pas été convenablement testés et présentent de grave risques de santé. Il y a plus qu’une simple association fortuite entre les aliments génétiquement modifiés et les effets néfastes sur la santé. Il y a un lien de causalité. »

En mai dernier, l'American Academy of Environmental Medicine (AAEM) a appelé les « médecins à aviser leurs patients, la communauté médicale, et le public d’éviter dans la mesure du possible toute nourriture génétiquement modifiée et fournir des arguments éducatifs sur les OGM et leurs risques pour la santé. » Ils ont appelé à un moratoire sur les OGM, à des études indépendantes de longue durée, et à l'étiquetage.

La monographie de l’AAEM indique : « Plusieurs études sur animaux montrent de graves risques de santé liés aux denrées alimentaires génétiquement modifiées, » notamment d'infertilité, d’immunité, de vieillissement accéléré, de régulation insulinique, et d’altérations des principaux organes et du système gastro-intestinal. Elle conclut : « Il y a plus qu’une simple association fortuite entre les aliments génétiquement modifiés et les effets néfastes sur la santé. Il y a un lien de causalité, » comme le définissent des critères scientifiques reconnus. « La forte association et concordance entre aliments génétiquement modifiés et maladie est confirmée par plusieurs études sur animaux. »

De plus en plus de médecins prescrivent déjà un régime alimentaire sans OGM. Le Dr Amy Dean, un spécialiste en médecine interne du Michigan, et membre du conseil de l’AAEM signale : « Je conseille vivement à mes patients de manger strictement des aliments non génétiquement modifiés. » John Boyles, un médecin allergologue de l’Ohio, déclare : « J’utilisais tout le temps le test pour les allergies au soja, mais maintenant que le soja est génétiquement modifié, il est si dangereux que je dis aux gens de ne jamais en manger. »

La Doctoresse Jennifer Armstrong, présidente de AAEM, affirme que, « Les médecins voient sans doute les effets sur leurs patients, mais ont besoin connaître quelles sont les bonnes questions à poser. » Pushpa M. Bhargava, un biologiste de renommée mondiale, va encore plus loin. Après avoir examiné plus de 600 revues scientifiques, il conclut que les OGM sont l’un des principaux responsables de la forte détérioration de la santé des Étasuniens.

Dans la population, le biologiste David Schubert du Salk Institute prévient que « les enfants sont les plus susceptibles d'être affectés négativement par les toxiques et les autres problèmes alimentaires » liés aux OGM. Il dit que, sans étude adéquate, les enfants sont transformés en « cobayes. »

La réalité de l'expérimentation sur animaux nourris avec des OGM est effrayante. Quand du soja génétiquement modifié (GM) sert à nourrir des rates, la plupart de leurs rejetons meurent dans les trois semaines, comparativement au taux de mortalité de 10% dans le groupe témoin nourri avec du soja naturel. Les petits nourris avec des OGM sont aussi plus petits, et ils ont plus tard des problèmes de fertilité.

En fait, chez les rats nourris avec du soja GM, la couleur des testicules est changée de rose naturel à bleu foncé. Les souris nourris avec du soja GM ont leur jeune sperme altéré. Même les embryons des souris mères nourries avec des OGM ont leur ADN profondément altéré. Dans une étude du gouvernement autrichien, les souris nourries avec du maïs GM avaient moins de rejetons, et ils étaient aussi plus petits que la normale.

Les problèmes de reproduction accablent aussi le bétail. Des investigations dans l'État de Haryana, en Inde, ont révélé que la plupart des buffles qui ont mangé des graines de coton GM ont des complications du style accouchement prématuré, avortement, stérilité, et utérus prolabé (déplacé vers le bas). Beaucoup de veaux sont morts. Aux États-Unis, environ deux douzaines de fermiers ont signalé que des milliers de porcs sont devenus stériles après avoir consommé certaines variétés de maïs GM. Certaines truies ont fait une grossesse nerveuse (false pregnancies), d'autres ont accouché de poches d'eau. Des vaches et des taureaux sont aussi devenues stériles après avoir été nourris avec le même maïs.


Aliment conçu pour produire des poisons

Le maïs et le coton GM sont conçus pour produire leur propre pesticide, sécrété par chaque cellule. Lorsqu’un insecte mord la plante, le poison lui délabre l’estomac et le tue. Les compagnies de biotechnologie prétendent que le pesticide, appelé Bt (produit à partir de la bactérie du sol Bacillus thuringiensis), a une tradition d'utilisation sûre, car les agriculteurs biologiques et les autres utilisent la bactérie Bt en pulvérisation pour contenir naturellement les insectes.

Pourtant, dans les plantes GM, la toxine Bt produite est des milliers de fois plus concentrée que la Bt naturelle des aérosols, est conçue pour être plus toxique, a les propriétés d'un allergène, et, contrairement celle de l'aérosol, les plantes ne peuvent pas s’en débarrasser.

Et par-dessus tout ça, des études confirment que même les aérosols bactériens naturels moins toxiques sont nocifs. Quand ils ont été dispersés par avion pour tuer la lymantride spongieuse dans le nord-ouest du Pacifique, environ 500 personnes ont signalé une allergie ou des symptômes semblables à ceux de la grippe. Certains ont dû aller aux urgences. Les symptômes sont exactement les mêmes que ceux rapportés actuellement par les travailleurs agricoles, partout en Inde où on manipule du coton Bt. En 2008, se basant sur des dossiers médicaux, le Sunday India a rapporté, « Les victimes de démangeaisons ont augmenté énormément cette année... dans l'agriculture liée au coton Bt. »

L’American Academy of Environmental Medicine déclare, « De multiples études animales montrent un important dérèglement immunitaire, » notamment l’augmentation des cytokines, qui sont « associée à l'asthme, à l'allergie et aux inflammations, » tous en hausse aux États-Unis.

Selon le Dr Arpad Pusztai, expert en sécurité sur les OGM, les changements dans la condition immunitaire des animaux sont « une particularité constante dans toute étude sur les OGM. » Même les propres recherches de Monsanto ont montré d'importantes modifications dans le système immunitaire des rats nourris avec du maïs Bt. Une étude de novembre 2008, conduite par le gouvernement italien, a également constaté une réaction immunitaire des souris au maïs Bt.

Le soja et le maïs GM contiennent chacun deux nouvelles protéines dotées de propriétés allergéniques, le soja GM a jusqu'à sept fois plus d’inhibiteur de trypsine, un allergène connu du soja, et les tests par piqûre de la peau montrent que certaines personnes réagissent au soja GM, mais pas au soja non GM. Peu après l’introduction du soja GM au Royaume-Uni, les allergies au soja ont explosé de 50%. Peut-être que l'épidémie d'allergies alimentaires et d'asthme aux États-Unis est un accident de la manipulation génétique.

En Inde, les animaux paissent sur les plantations de coton après récolte. Mais quand les bergers ont laissé les moutons paître sur des plantations de coton Bt, des milliers sont morts. Les autopsies ont révélé une grave irritation et des taches noires à la fois dans les intestins et dans le foie (ainsi que les voies biliaires élargies). Les enquêteurs ont déclaré que les premiers indices « suggèrent fortement que la mortalité des moutons est due à une toxine, très probablement à la toxine Bt. » Lors d’une petite étude de longue durée de la Deccan Development Society, tous les moutons nourris avec des plants de coton Bt sont morts dans les 30 jours, ceux qui pâturaient sur des plantations de coton naturel sont restés en bonne santé.

Dans un petit village de l'Andhra Pradesh, les buffles ont pâturé sur des plantations de coton pendant huit ans sans problème. Le 3 janvier 2008, les buffles ont pâturé sur les plantations de coton Bt pour la première fois. Le lendemain, les 13 étaient tous malades ; tous sont morts en 3 jours. Le maïs Bt a aussi été impliqué dans la mort de vaches en Allemagne, et de chevaux, de buffles et de poulets dans les Philippines.

Dans des études de laboratoire, deux fois quantité de poulets nourris avec du maïs Liberty Link sont morts ; 7 des 20 rats nourris avec une tomate GM ont manifesté des saignements stomacaux ; dans une autre, 7 sur 40 sont morts en deux semaines. Selon GE Seralini, un grand toxicologue français, une propre étude de Monsanto a montré des signes d'intoxication dans les principaux organes des rats nourris avec du maïs Bt.


La pire trouvaille de toutes : Les OGM demeurent en nous

La seule étude publiée sur l'alimentation humaine a révélé ce qui pourrait être le plus dangereux problème des OGM. Le gène inséré dans le soja GM se transfère dans l'ADN des bactéries qui vivent dans nos intestins et continue sa fonction. Cela signifie que, longtemps après avoir arrêté de manger des OGM, des protéines GM potentiellement dangereuses peuvent encore être produites sans cesse à l'intérieur de nous. Dit plus simplement, manger une croustille de maïs, produite à partir de maïs Bt, peut, peut-être pour le reste de notre vie, transformer les bactéries vivant dans nos intestins en fabriques de pesticides.

Quand la preuve du transfert des gènes est rapportée lors de conférences médicales aux Etats-Unis, les médecins réagissent souvent en faisant allusion à la très forte augmentation de problèmes gastro-intestinaux chez les patients au cours de la dernière décennie. Les aliments GM pourraient être en train de coloniser la flore intestinale des Nord-Américains.

Les scientifiques de la Food and Drug Administration (FDA) avait avisé de tous ces problèmes dès le début des années 90. Selon des documents rendus publics lors d'un procès, le consensus scientifique à l'agence était que les OGM sont dangereux par nature, et risquent de créer des allergies, des empoisonnements, des transferts de gènes vers les bactéries intestinales, de nouvelles maladies, et des problèmes nutritionnels difficiles à détecter. Ils ont vivement conseillé à leurs supérieurs d'exiger des tests de longue durée rigoureux. Mais la Maison Blanche a ordonné à l’agence de promouvoir la biotechnologie, et la FDA a réagi en recrutant Michael Taylor, l'ancien conseiller juridique de Monsanto, à la tête de la formation sur la politique des OGM. Cette politique, qui est en vigueur aujourd'hui, refuse de reconnaître les inquiétudes des scientifiques et déclare qu'aucune étude de sécurité n’est nécessaire pour les OGM. C’est à Monsanto et aux autres compagnies de biotechnologie de déterminer si leurs aliments sont sans danger. M. Taylor est devenu plus tard vice président de Monsanto.

L’American Academy of Environmental Medicine déclare, « Les aliments GM n'ont pas été convenablement testés » et « présentent un grave risque pour la santé. » Pas un seul essai clinique humain sur les OGM n’a été publié. En 2007, un examen de la littérature scientifique publiée sur les « effets toxiques potentiels et les risques pour la santé des plantes génétiquement modifiées, » a révélé que « les données expérimentales sont très rares. » L'auteur conclut son examen en demandant : « Où est la preuve scientifique démontrant l’innocuité toxicologique des plantes et des aliments GM, comme cela est supposé par les compagnies de biotechnologie ? »

Le célèbre généticien canadien David Suzuki répond : « Les expériences n'ont tout simplement pas été faites et nous devons devenir maintenant des cobayes. » Il ajoute : « À toute personne affirmant : "Oh, nous savons que c’est parfaitement sûr", je dis qu’il est soit incroyablement stupide, soit qu’il ment délibérément. »

Le Dr Schubert fait remarquer, « S'il y a quelque problème, il ne sera probablement jamais connu, car on ne pourra pas remonter à sa cause et de nombreuses maladies prennent beaucoup de temps à se développer. » Si les OGM produisaient un effet immédiat et des symptômes cuisants avec une signature unique, peut-être aurions-nous une chance de remonter à la cause.

C'est précisément ce qui est arrivé lors d'une épidémie aux États-Unis à la fin des années 80. La maladie avait une action rapide, mortelle, et provoquait un changement mesurable dans le sang, mais il a fallu plus de quatre ans avant d’identifier l’épidémie en train de sévir. Elle tua jusque-là environ cent Étasuniens et fit tomber malade ou handicapa cinq à dix mille personnes. Elle fut provoquée par une sorte particulière de complément alimentaire du génie génétique, appelé L-tryptophane.

Si d'autres aliments GM contribuent à accroître l'autisme, l'obésité, le diabète, l'asthme, le cancer, les maladies cardiaques, les allergies, la stérilité, ou tout autre problème de santé dont souffre les Étasuniens, nous ne pourrons jamais le savoir. En fait, puisque les animaux nourris avec des OGM ont beaucoup de problèmes divers, les gens sensibles peuvent réagir aux aliments génétiquement modifiés par de multiples symptômes. Il est par conséquent révélateur que, dans les neuf premières années après l'introduction des cultures GM à grande échelle en 1996, l'incidence des gens ayant trois maladies chroniques ou plus a presque doublé, passant de 7% à 13%.

Pour aider à déterminer si les OGM sont à l'origine de dommages, l’AAEM demande à ses « membres, à la communauté médicale, et à la communauté scientifique indépendante de rassembler les études des cas éventuellement liés à la consommation des OGM et à leurs effets sur la santé, de commencer des recherches épidémiologiques pour étudier le rôle des OGM sur la santé humaine, et de mettre en œuvre des méthodes de sécurité pour déterminer les effets des OGM sur la santé humaine. »

Les citoyens n'ont pas besoin de l’avis des médecins pour éviter les OGM. Les gens peuvent se tenir à l'écart de tout ce qui contient des produits dérivés du soja et du maïs, de l'huile de coton et de colza, et du sucre de betteraves GM, à moins qu’ils soient dits organiques ou « sans OGM. »

Même si seulement un petit pourcentage de gens choisissent des marques sans OGM, l'industrie alimentaire réagira sans doute comme elle l’a fait en Europe, en supprimant tous les ingrédients GM. Ainsi, la prescription sans OGM de l'American Academy of Environmental Medicine pourrait devenir un tournant dans l’alimentation aux États-Unis.


Jeffrey M. Smith, le directeur exécutif de l'Institute for Responsible Technology, est le principal interprète sur les dangers sanitaires des OGM. Son premier livre [traduit en français], Semences de tromperies est un best-seller mondial sur le sujet. Son second livre, Genetic Roulette: The Documented Health Risks of Genetically Engineered Foods, identifie 65 dangers potentiels des OGM et démontre à quel point les approbations gouvernementales sont superficielle et incompétentes pour la plupart d'entre eux. Il a invité la biotechnologie à répondre par écrit, avec des preuves allant à l’encontre de chaque danger, mais a prédit avec justesse qu'elle refuserait, puisqu’elles ne disposent d’aucune donnée démontrant l’innocuité de ses produits.


American Academy of Environmental Medicine :
environmentalmed@yahoo.com
www.aaemonline.org


Original : www.sentienttimes.com/09/June_July_09/doctors.html
Traduction libre de Pétrus Lombard pour Alter Info

samedi 20 juin 2009

Et si les cantines passaient au bio ?

« Alors qu'il me fallait 25 kg de légumes conventionnels pour préparer 100 litres de potage, je n'utilise plus que 18 kg de légumes bio pour la même quantité de produit fini ! La différence tient dans la matière sèche, en plus grande quantité dans les produits naturels, alors que les fruits et légumes traités sont gonflés d'eau. »

pour lire la suite:

cliquez sur le titre de l'article.

mardi 16 juin 2009

20% de bio dans les cantines en 2012, ça bouge!!



Le Civam a accueilli dans ses bureaux début juin, une stagiaire, Thileli DJEROUM? (formation ingénieur) pour une durée de six mois.

Dans la perspective de l'introduction de 20% d'aliments bio dans les cantines d'ici 2012, il appartient au CIVAM BIO des Landes –
organisme de développement de l'agriculture biologique dans les Landes – de concourir à la réalisation de cet objectif,
avec l'ensemble des acteurs concernés par la Restauration Hors Domicile.

Son travail devra permettre de réaliser :
- un guide à l'usage des gestionnaires de cantine, des responsables d'établissements scolaires,
- de réaliser au cours de l'année scolaire 2009 - 2010, la mise en place d'opérations pilote, en partenariat avec les collèges landais qui en auront fait la demande : introduction régulière d'aliments bio dans les menus, (voire de repas bio), actions d'animation.



Bonjour à tous et toutes,

En pièce jointe, invitation à la conférence débat organisée par le CIVAM BIO 40 le 30 juin prochain.
Pour toute info complémentaire, n'hésitez pas à nous contacter.
Merci de faire circuler l'info et de transmettre l'invitation autour de vous.
Bio salutations !


Dominique Pressat
Animatrice CIVAM BIO 40
Tél/Fax : 05 59 98 71 92
Mobile : 06 81 96 15 09
dominique.civambio40@orange.fr

jeudi 11 juin 2009

Un MAIRE utopiste? ou réaliste!

LA GRATUITE MUNICIPALE

rève ou réalité?

Cliquez sur le titre et lisez cet excellent article.

Pourrait-il inspirer nos élus!

mardi 24 mars 2009

Ma Cantine Bio

Voici un blog sur les cantines bio à Rueilmalmaison

Visitez le, il est bien fait et recèle de bonnes infos



http://macantinebio.wordpress.com/

Il offre une carte de france des biocantines mise à jour régulièrement.